mercredi 24 août 2011





un peu d'histoire !


massacre de la St Barthélemy par François Dubois



Le 24 août 1572, jour de la Saint-Barthélemy, le carillon de l'église de Saint-Germain l'Auxerrois, en face du Louvre, donne le signal du massacre des protestants, à Paris et dans le reste du pays.
C'est le jour le plus noir des guerres de religion entre catholiques et protestants qui ont ensanglanté le pays pendant plus d'une génération.
Il est devenu le symbole universel du fanatisme.
Un mariage tendu

Tout commence par un... mariage, le 18 août 1572, celui d'Henri de Navarre et Marguerite de Valois, soeur du roi Charles IX (celle-là même qui entrera dans la légende sous le surnom de reine Margot).
Les assistants de la noce, tant catholiques que huguenots (surnom des protestants), sont très agités en raison de la rumeur d'une prochaine guerre contre l'Espagne catholique du roi Philippe II.

Depuis plusieurs mois, l'amiral Gaspard de Coligny, chef de la faction protestante et principal conseiller du roi, tente de convaincre le roi d'envahir la Flandre, possession espagnole.
 Mais les chefs de la faction catholique, à savoir les frères de Guise et le duc d'Anjou, frère du roi Charles IX (qui lui succèdera plus tard sous le nom d'Henri III) ne veulent à aucun prix de cette guerre. La reine-mère Catherine de Médicis n'en veut pas davantage.



Le matin du 22 août, soit quatre jours après le mariage princier, un capitaine gascon blesse Coligny de deux coups d'arquebuse.
Le roi se rend au chevet de son conseiller qui l'adjure de ne pas chercher à le venger !


Les noces s'achèvent dans la confusion. Malgré les recommandations de Coligny, les chefs protestants réclament justice. Au palais du Louvre où réside le roi de France, Catherine de Médicis craint d'être débordée par les chefs catholiques, qui reprochent à la monarchie de trop ménager les protestants.



Pour sauver la monarchie, elle décide de prendre les devants et de faire éliminer les chefs protestants (à l'exception des princes du sang, Condé et Navarre, le jeune marié).



Le 24 août, fête de la Saint Barthélemy, avant le lever du soleil, Coligny est égorgé dans son lit et son cadavre jeté dans la rue et livré aux exactions de la populace.


Les gardes et les miliciens, arborant une croix blanche sur leur pourpoint et une écharpe blanche, poursuivent le massacre dans le quartier de Saint-Germain l'Auxerrois. Ils massacrent deux cents nobles huguenots venus de toute la France pour assister aux noces princières et rassemblent leurs cadavres dans la cour du Louvre. Certains chefs protestants, prévenus à temps, arrivent à s'enfuir avec les gardes des Guise à leurs trousses.



Quand la population parisienne sort dans la rue, réveillée par le tocsin, elle prend connaissance du massacre. C'est aussitôt la curée. Dans les rues de la capitale, chacun s'en prend aux protestants de rencontre.



Les malheureux, hommes, femmes, enfants, sont traqués jusque dans leur lit et mis à mort des pires façons. Et l'on en profite pour piller les biens des victimes.



À la mi-journée, le roi ordonne d'en rester là. Mais ses sonneurs de trompe ont le plus grand mal à faire respecter ses ordres.



Charles IX assume la responsabilité des événements. Il explique que Coligny avait ourdi un complot et qu'il avait dû l'exécuter.



On évalue le nombre total de victimes dans l'ensemble du pays à 30.000 (plus que sous la Commune de 1871). Il n'empêche que le massacre n'est pas ressenti avec une horreur particulière par les contemporains. Il apparaît à ceux-ci comme relativement banal dans l'atmosphère violente de l'époque.


d'après  hérodote.net

lundi 22 août 2011

la petite recette du lundi



une recette tirée de Yummy  magazine n°3 à télecharger ici

crumble de courgettes
Pour 4 à 6
750 g de courgettes
150 g de roquette
1 oignon
150 à 200 g de chapelure
80 à 100 g de beurre salé
200 g de fromage de chèvre type bûche
2 c. à soupe de pignons de pin
Huile d'olive


Rincer et éponger 100 g de feuilles de roquette
Mixer avec un filet d'huile d'olive
Saler
À la fourchette, mélanger le beurre ramolli,
la chapelure et les pignons.
Préchauffer le four à 210°.
Dans un filet d'huile d'olive, faire revenir l'oignonet les courgettes tranchées finement.
Cuire à feu doux jusqu'à ce que les courgettes soient fondantes.
Ajouter le chèvre coupé en dés, laisser fondre.
Incorporer le pesto de roquette, ajuster l’assaisonnement.
Mettre le mélange dans un plat à gratin, couvrir avec les 50 g de feuilles de roquette restantes,ciselées. Terminer par le crumble.
Enfourner une trentaine de minutes, jusqu’à ce le crumble soit bien doré.

samedi 20 août 2011

il fait chaud !

aujourd'hui grande chaleur
le thermometre s'affole !
il faut rester à la maison
et tout fermer !
vive l'eté ! !
allez! une petit verre bien frais
il fait même trop chaud pour coudre  
vivement cet hiver et ses feux de bois !!!!!!

vendredi 19 août 2011

le sucré du vendredi

Crème catalane brûlée
1 l de lait
5 jaunes d'oeufs + 2 oeufs entiers
150g de sucre semoule
25 g de farine
25 g de fécule
1 écorce de cannelle
1 zeste de citron
1 zeste d'orange
1 cuillère à café de grains d'anis vert (facultatif)
porter le lait à ébullition
le retirer du feu et y faire infuser tous les parfums , couvrir
Travailler les oeufs , la farine et la fécule avec une cuillère à soupe de sucre
passer le lait au chinois, l'incorporer lentement au mélange précédent en fouettant bien
faire cuire sur feu doux en remuant à la spatule jusqu'à épaississement,
laisser bouillir 1 à 2 mn
retirer du feu et battre vivement la crème
la verser dans des cassolettes et les mettre à refroidir jusqu'au moment de servir
lorsqu'il c'est formé une pellicule assez épaisse la recouvrir de sucre
porter le fer à brûler au rouge et appliquer sur la crème
servir aussitôt
ne jamais brûler à l"avance

jeudi 18 août 2011

au hasard des rues de Cadaqués ces rideaux en appliqué et broderie; avec ce bleu profond dit "bleu de Cadaquès " qui ,je trouve se fait de plus en plus rare dans le village , dommage!

mercredi 17 août 2011

il y a des moments où la vie est belle , malgré tout !
Week-end un peu prolongé en Espagne
Figueres nocturne
visite au musée Dali ,nous l'avions déjà visité il y a quelque temps , mais en journée


  cette "tête" nous accueille à l'entrée du musée
 le hall du musée
les flash étant interdits pas de photos !
Dali était vraiment un artiste GÉNIAL!  la nuit c'est encore plus magique 

le lendemain matin au soleil

la façade du musée avec les oeufs chers à Dali

l'autre façade




le buste de Gala




après la nourriture de l'esprit un peu de "nourriture " du corps: une bonne sangria accompagnée de quelques tapas

ensuite nous avons continué sur les traces de Dali à Cadaquès


beaucoup  de monde ! parkings bondés juste une petite place au bout d'une petite rue au soleil! malgré tous les parkings pour motos mis à disposition en Espagne   


 mais vue magnifique 




bougainvillé majestueux

ensuite direction Roses où l'on retrouve beaucoup de touristes français ,cette année de nombreux  russes
 

chateau (en Espagne)de sable


  • 
    parillada de pescos y mariscos
    

diner  dans les petites ruelles de Roses
paella con langouste

et comme il faut bien rentrer à la maison un dernier arrêt à Collioure

pour en voir plus :www.salvador-dali.org

lundi 1 août 2011

Hier dimanche dernier jour de juillet ,enfin le beau temps était là


une petite balade du côté des gorges de la Save  , ha !ce ne sont pas les gorges du Tarn ! mais un petit coin charmant

quelques sportifs s'initient à la grimpette l'escalade





un peu plus loin la villa gallo-romaine de Montmaurin


le système de "chauffage central" par air chaud

les wc ou latrines


des vestiges des très belles mosaïques qui décoraient les sols


 ¨

une promenade parmi les petites routes de campagne avec pour seules rencontres mes amies les vaches toujours aussi paisibles



Retour par Lombez avec un petit arrêt
 nous avons passée une bonne journée , bien reposante