lundi 14 novembre 2011

la petite recette du lundi



gnocchis de panais


500 gr  de panais
50 gr de parmesan rapé
farine
sel poivre du moulin
1 oignon
2 gousses d 'ail hachées                         
2 citrons zestes et jus
chapelure
pignons de pin
huile d'olive

Faire cuire des panais à la vapeur
Les réduire en purée, assaisonner, puis ajouter du parmesan et de la farine jusqu’à la consistance qu’il faut pour tout juste pouvoir manipuler la pâte.
Faire des petites boulettes ovales de pâte et faire de jolies marques à la fourchette. 
Jeter les gnocchis dans une casserole d’eau bouillante
Quand les boulettes remontent en surface, les sortir de la casserole et les mettre à patienter dans un récipient couvert pour garder la chaleur.
Sauce pignon-citron
Faire cuire un oignon et de l’ail dans de l’huile d’olive
Ajouter de la chapelure et des pignons concassés jusqu’à ce que ça brunisse 
Ajouter le zeste et jus de deux citrons et assaisonner.
Servir les gnocchis accompagnés de la sauce pignon-citron, de parmesan et de poivre noir concassé. 

vendredi 11 novembre 2011

Lundi 11 novembre 1918, 11 heures : dans toute la France, les cloches sonnent à la volée.


Au front, les clairons bondissent sur les parapets et sonnent le «Cessez-le-Feu», «Levez-vous», «Au Drapeau». La «Marseillaise» jaillit à pleins poumons des tranchées. Même soulagement en face, dans le camp allemand.

Pour la première fois depuis quatre ans, Français et Allemands peuvent se regarder sans s'entre-tuer. Un armistice (arrêt des combats) a été conclu le matin entre les Alliés et Allemagne, dernière des Puissances Centrales à rendre les armes. Il laisse derrière lui huit millions de morts et six millions de mutilés.

Cette photographie a été prise après la signature de l'armistice à la sortie du « wagon de armistice » du train  d'état major Ferdinand Foch (deuxième à partir de la droite).







Tableau représentant la signature de l’Armistice de 1918 dans le wagon-salon du maréchal Foch. Derrière la table, de droite à gauche, le général Weygand, le maréchal Foch (debout) et les amiraux britanniques Rosslyn Wemyss et G. Hope. Devant, le ministre d’État allemand Matthias Erzberger, le général major Detlof von Winterfeldt (avec le casque) de l’Armée impériale, le comte Alfred von Oberndorff des Affaires étrangères et le capitaine de vaisseau Ernst Vanselow de la Marine impériale





Source herodote.net

11/11/11

"Le hasard n'existe pas, il n'y a que des rendez-vous"
(Paul Eluard)




 aujourd'hui 11 novembre 2011
que de 1 !!
que va t'il se passé à 11 h 11 mn et 11 secondes ?
rien !!
c'est le compte à rebours qui démarre pour la fin du monde  le 21/02/2012 ?


la Saint martin


Martin naît à Sabaria (Hongrie actuelle) en 316 de parents païens. A l'âge de 10 ans, Martin entre dans une église, s'intéresse à la foi et commence son catéchuménat. Il songe même à aller vivre au désert.



En garnison à Amiens par un hiver de grand gel, il rencontre, à la porte de la ville, un pauvre mourant de froid. N'ayant plus d'argent à lui donner, “ saisissant l'arme qu'il portait à la ceinture, il partagea son manteau en deux, en donne un morceau au pauvre et se rhabille avec le reste.


Cette scène, popularisée par la sculpture, la peinture et le vitrail


Quelques années après l'épisode d'Amiens,. Martin s'installe comme ermite à Ligugé, à quelques kilomètres de Poitiers. Martin visite les pauvres et les malades. Homme de prière, il exerce la compassion et guérit les malades, tantôt par de simples remèdes, tantôt par l'huile des malades, et, par fois, par des guérisons extra ordinaires. Martin ressuscite même les morts.


Évêque de Tours en 381 il meurt le 08 novembre 397 à Candes et est inhume à Tours

mardi 8 novembre 2011

la petite recette du lundi









      pour la Saint Martin le foie gras revient ! 








une recette de foie gras que j'ai eu le plaisir de déguster lors du repas donné a l'école hoteliére de mon petit fils Adrien

Préssée de foie gras et truite fumée
Pour 6 personnes

Préparation : 30 min

Cuisson : 40 min

Réfrigération : 12 h

Ingrédients :

350 g de Foie Gras entier mi-cuit

2 poires

150 g de fines tranches de truite fumée

100 g de champignons de Paris
25 cl de porto

1 c. à soupe d’huile d’olive

Préparation


Peler les poires, les  couper en deux pour éliminer cœurs et pépins, puis les mettre dans une casserole avec le porto, sur feu doux
Laisser frémir 40 min.

Pendant ce temps, nettoyer les champignons, ôter les bouts terreux et émincer les têtes.
Les faire sauter à la poêle avec l’huile.

Couper le Foie Gras en fines tranches.

Égoutter les poires cuites à l’écumoire et les laisser refroidir.
Faire réduire le porto à consistance sirupeuse.
Le réserver
Couper les poires refroidies en lamelles.

Tapisser de film étirable un moule à cake , de 18 x 8 cm.

Monter la terrine en alternant le Foie Gras, la truite, les champignons et les lamelles de poires, jusqu’à épuisement des ingrédients
Couvrir la terrine de film étirable, poser une planchette surmontée d’un poids (par exemple, une boîte de conserve) et mettre au frais pendant au moins 12 h.

Pour servir, démouler le pressé et le couper en tranches.
Poser sur des assiettes et décorez avec des gouttes de porto réduit.